deviner qui a fait joujou avec word???

Et bah oui encor emoi et encore une fic. Sur le manga comte cain cette fois. Je suis incorrigible ^^


Les ailes noires d'un ange de la nuit tombée


Encore une de ces innombrables soirées sans intérêts. La haute société n’avait pas grand-chose à faire d’autre apparemment. Le comte Cain C. Hargreave se trouvait adossé à une cheminée de marbre blanc à regarder les autres personnes qui tournaient dans la salle comme des mouches à la recherche de nourriture.

La seule chose qui captivait un tant soit peu le lord se trouvait être la présence de femmes. Et oui, il était un vrai papillon dans ce domaine. Son valet, Riff, était resté avec sa petite sœur dans la petite maison qu’ils habitaient. La soirée aurait pu rester une simple soirée sans importance sans un événement, un grain de sable qui changea la donne.

Un grand claquement suivit d’un cri assez faible. Ces quelques sons mirent Cain en alerte et, attiré par sa curiosité naturelle, il se dirigea vers l’endroit d’où s’élevaient maintenant des injures. Il y avait un homme, assez grand, musclé, des cheveux bruns bouclés encadrant son visage sombre et son expression de brute énervée. Il y avait aussi une jeune femme. Elle était à terre, ses cheveux rous tombant sur son visage et ses épaules, les yeux fermés et une main très pale posée sur sa joue certainement à cause d’une gifle.

L’homme avait de nouveau levé la main pour redonner un coup à la jeune femme à terre quand, d’un mouvement rapide et clair, Cain se servit du pommeau de sa canne pour saisir le poignet de la brute l’interrompant ainsi dans son élan.

Un instant de silence, puis l’homme se retourne avec violence. Il s’avéra à ce moment là qu’il faisait bien une tête de plus que le comte.

« Qu’es ce que t’as toi ?! »

« Personnellement, je trouve que votre manière de traiter les femmes est déplorable. Vous devriez vous calmez un peu. »

L’homme parut un instant déconcerté. Il se rendit compte que tout le monde les regardait. Il cligna stupidement des yeux et sembla être prit de fureur il leva son poing et cette foi c’est Cain qu’il voulut assommer.

Un mouvement vif et la brute se retrouva à terre la tête roulant aux pieds de la rousse, assommé. Il y avait une autre femme. Les cheveux noirs et ondulés tombant jusqu'à ses reins rejetés en arrière par un bandeau. Son habit…c’était une domestique et elle venait de frapper un noble avant de le mettre à terre et de l’assommer par-dessus le marché.

Cette fois-ci, les gens commençaient à s’agiter de plus en plus violemment. Personne ne bougeait quand un homme battait une femme mais si une domestique frappait un homme tout passait au scandale.

Cain se contente de regarder la domestique s0agenouiller près de la jeune femme qui semblait être son maître. Cette dernière avait consentit à enlever la main de sa joue et un mince filet de sang glissa sur ses doigts et commença à se faufiler entre ses traits fin de son visage pour rejoindre le sol.

Le jeune comte se baissa pour être à la hauteur des deux inconnues. Il tendit un mouchoir à la blessée avant de dire d’une voix tendre.

« Votre garde du corps a une sacré poigne. Je suis bien content qu’elle ai de bons reflexes. »

La domestique le regardait fixement en se reculant un peu pour lui laisser la place. Son expression était pleine de dureté et de détermination mais avec un éclat d’inquiétude derrière ses yeux bruns.

La noble le regardait stupéfaite un peu choquée. Ses yeux étaient émeraude et recelaient une expression un peu perdue. Cain reste une seconde fasciné par ce regarda vert et profond comme deux puits sans fonds.

« Vous…vous n’êtes pas fâché ? »

Cain eu une sorte de rire nerveux un peu forcé. Plus pour la rassurer qu’autre chose.

« Je ne voit pas pourquoi je le serais. Elle m’a évité un bien pénible coup. »

Il se redressa et commença à s’éloigner quand la voix de la jeune femme s’éleva à nouveau.

« Merci. »

Il se retourna rapidement et vit la jeune rousse se redresser aidée par la domestique.

« Merci d’avoir prit ma défense vous étiez le seul. »

Le jeune comte des poisons fut un peu surpris. Cette jeune fille semblait vraiment perdue. Elle essuya un peu de sang qui coulait sur sa lèvre. Cain se retint de sursauter en se rendant compte que cette blessure n’avait pas attiré son attention plus tôt. Il prit la main de la rousse en apercevant du coin de l’œil que la domestique à ses côtés avait pris une expression amère et presque…jalouse. Ignorant ce détail, le comte embrassa la main de son inconnue (son inconnue mais pour qui il se prend celui-là). Celle-ci eu la couleur de son visage qui rejoignit sensiblement celle de ses cheveux.

« C’est tout naturel miss… ? »

« Aïna…Aïna Eridesma. »

« Enchanté. Mon nom est Cain. J’espère que cet incident ne gâchera pas votre soirée. »

Sans laisser le temps à Aïna de répondre, il se retourna et s’éloigna en se glissant dans la foule cachant son sourire. Cette histoire lui donnait une excellente excuse pour rentrer chez lui et quitter cet endroit décidément très désagréable. Cain prit un fiacre pour rentrer chez lui et fut étonnamment surprit de voir dès le moment ou il pénétrait dans la propriété, Riff se retrouver devant l’entrée pour l’accueillir. Il avait surgit à une vitesse que le jeune comte ne lui connaissait pas.

« Qu’es ce qui se passe ? »

Demanda Cain inquiet, le teint pâle de son majordome l’inquiétait plus qu’il ne l’aurait pensé. Pourtant, la réponse dissipa toutes ses craintes ou presque.

« Monsieur Oscar est passé pour voir Miss Mary et celle-ci a décidé de travailler ses gammes au piano pour qu’il la laisse en paix. »

Bonne nouvelle, rien de grave ne s’était passé (Mary à travailler son piano mais je vous assure que ce n’est rien de grave, si, si promit personne n’en est encore mort, promit.). Mauvaise nouvelle, il allait falloir supporter Oscar et les gammes de sa petite sœur qui décidément n’était pas faites pour le piano.

Niou lyra!! chui toujours autant fan!!! *o*

J'ai eu la flemme de tout lire...sa parle encore de moi ou non?

Si tu lis pas jvois pas l'intérêt de poster...Et non ça parle pas de toi, t'es pas le centre d'intérêt de Lyra....

P'tin, t'es enervé après moi ou quoi? mais vu que j'ai été vu 2 fois dans les focs de Lyra donc c'est pour sa...

Non c'est pas spécifiquement contre toi, mais ceux qui font des commentaires sur un trucs qu'ils n'ont pas lu j'aime pas trop...

Citation :

J'ai eu la flemme de tout lire...sa parle encore de moi ou non?

Karakt Kounobi a écrit:

P'tin, t'es enervé après moi ou quoi? mais vu que j'ai été vu 2 fois dans les focs de Lyra donc c'est pour sa...

Je crois simplement que c'est assez, justement, justifié... Lis ta remarque désobligeante cher padawan dans l'art et la manière... Et comprends par ailleurs le poids du travail... Ce soir quand tu iras te coucher... Tu prendra un livre dans ta bibliothèque (enfin étagère)... Tu te demandera combien de temps... Combien de réflexion... Faut-il pour écrire... Même le plus misérable mot de ce bouquin...

Bref... Je pèteunplombe un peu aussi... Mais y a du vrai...

Whaou Logan on pense la même chose Oo j'aurais jamais penser dire ça un jour xD

J'apprécie ton soutien...^^ ShinTaRo^^ [Je préfère comme ça^^]

Logan là tu marque un point.
Bon arrêtons de poster ce genre de message, on est là pour parler du la fic de Lyra, non ?
Magnifique Lyra, vivement le prochain chapitre^^.

Merci pour les compliments^^ Je vous met la suite direct.

Chapitre deux (quel titre exelent je sais XD)


Cain soupira et se dirigea vers sa maison. Il jeta un coup d’œil à Riff avant d’ouvrir la porte. L’homme aux cheveux blonds presque blancs ne devait pas avoir eu une soirée calme pour sembler aussi fatigué. Le comte, une foi à l’intérieure, se dirigea d’abord vers le salon d’où provenaient des sons faisant plus penser à un chat qu’on égorge qu’autre chose. Cain du crier par-dessus le vacarme pour se faire entendre et interrompre sa sœur.

« MARY !!! »

Celle-ci se stoppa net et, en le voyant, elle sauta en bas de son tabouret en criant comme il se doit aussi forte que lui.

« GRAND FRERE !!! »

« Tu peux m’expliquer à quoi tu joues ? »

Mary fit la moue. Son frère savait déjà tout car Riff n’aurait certainement pas tardé à lui expliquer la situation. Mais quand il lui demandait de réexpliquer ça voulait dire qu’un reproche se cachait derrière tout ça.

« Mais c’est Oscar. C’est l’unique moyen pour qu’il me laisse un peu tranquille sinon il ne me lâche jamais. »

« Et les domestiques qu’es ce qu’ils t’on fait ? »

Le visage de l’enfant se peignit un bref moment d’une expression hésitante puis, finalement, Mary se reprit et rétorqua avec aplomb.

« Si tut ne sortait pas en me laissant seule tous les soirs tu pourrais peut être empêché cet hurluberlus d’entrer sans y être inviter et de squatter sans arrêts ! »

Et hop, un partout, la petite fille avait un sacré don pour clouer le bec à son coureur de jupon de frère. Ce fut à ce moment précis qu’Oscar se décida à débouler dans la pièce pour saluer (ce qui semble équivalent à sauter au cou dans sa tête) Cain. Le comte se rendit compte que Riff s’était éclipsé afin de ne pas se mêler de toute cette histoire et que du coup il allait falloir improviser pour se débarrasser de l’importun qui se trouvait maintenant pendu à lui comme une sangsue.


Deux semaines plus tard environ, le comte des poisons était en train de déjeuner en compagnie de Mary et de Riff qui se chargeait de les servir. Cain avait maintes fois insisté pour que le majordome mange avec eux mais le concernée avait à chaque foi refusé en disant que ce n’était pas sa place. Ce jour là, Riff tendit une lettre à son maître qui la prit en murmurant un vague remerciement signe qu’il n’était pas totalement réveillé (pourquoi tu t’es levé alors t’es riche profite de dormir XD).

« Qu’es ce que c’est grand frère ? »

« Une invitation. Eridesma…Eridesma…c’est étrange ça ne me dit rien. »

« La famille Eridesma est une famille de marquis. La personne en charge du titre actuellement se nomme Alane. Il n’a encore que 20 ans mais a hérité du titre après la morte de ses parents dans un accident il y a deux mois de cela. Il n’est pas marié mais vit avec sa petite sœur Aïna qui a 16 ans. »

Cain regarda son valet d’un air totalement…ébaubit (si…si ça existe comme mot). Ce petit exposé avait de quoi surprendre depuis quand son serviteur savait-il des choses pareilles ?

« Comment es-tu au courant de tout ça ? »

Le ton additionne à l’expression ahurie de son maître arracha à Riff un sourire et ce fut en se retenant d’éclater de rire qu’il répondit.

« Vous aviez rencontré Miss Aïna à une soirée il y a peu et m’avez demandé si je trouvais quelques chose sur elle ou sa domestique dont le comportement vous avait surprit. »

Le visage du jeune garçon s’illumina. Il s’en souvenait maintenant. La petite rousse et sa domestique qui avait mit KO un noble.

« Ah oui la domestique boxeuse (XD) !!! Ca m’était sortit de la tête. Le plus grand souvenir de cette soirée que j’ai est celui des efforts fait pour chasser Oscar. »

Cain venait de finir ses toasts et son omelette (j’ai faiiiiiiiiiiim !) et buvait son thé affalé en arrière sur sa chaise autre signe de fatigue. Il regardait Riff qui commençait à débarrasser son assiette. Encore une fois, il se surprit à apprécier la présence de cet homme auprès de lui. Il lui suffisait qu’il ne soit pas loin pour se sentir bien. Depuis le temps que les deux hommes avaient passés ensembles, Cain s’était plus attaché à son valet qu’a personne d’autre. D’un coup, la voix de Mary interrompit ses pensées.

« Oh, ils nous invites dans leurs château pour quelques semaines. Ils disent que c’est pour te remercier. »

Le comte attrapa la lettre rapidement l’arrachant aux mains de sa sœur qui en avait prit discrètement possession pour la lire à son insu.

« Comment ça nous ? »

« Bah c’est écrit, Riff et moi on est aussi invité. »

Elle avait raison. La feuille indiquait bien que sa sœur et son majordome étaient tout les deux invités. Pour Mary ce n’était pas si étonnant que ça mais que le nom complet de Rifflet soit cité était plus cocasse. D’ailleurs le serviteur qui était le seul à ne pas avoir lu la lettre prenait pour une blague les exclamations de la fillette.

« Allons Miss Mary, il n’y a pas de raison pour que… »

« Tu les connais Riff ? »

Le jeune garçon dardait son regard de chat sur le valet. Ses yeux d’un vert émeraude ou brillaient des éclats dorés avaient une expression presque fâchée qui surprit Riff mais sans que celui-ci ne baisse le regard pour autant.

« Je ne les ai jamais rencontré my Lord. »

« Ah. »

Le comte reposa la lettre sur la table de manière à que Riff puisse la lire. Il se leva et sortit de la pièce en disant d’un ton plus sec qu’il ne l’aurait voulut.

« Et bien ils ont quand même l’air de te connaître eux. »

Cain remonta dans sa chambre et ferma soigneusement la porte avant d’enlever ses chaussures et de se glisser tout habillé dans les bras froissé de son lit qui n’avait pas encore été fait. Il se lova dans la chaleur des tissus et se recroquevilla comme quand il était enfant avant de mettre un pan de drap sur son visage et de s’endormir dans sa chambre baignée de lumière.

Le jeune garçon se réveilla d’un coup. Il n’avait pas bougé mais quelque chose l’avait tiré du sommeil. Ce fut quand il entendit un froissement de tissus qu’il comprit que c’était la présence d’une personne se glissant dans la pièce qui l’avait sortit de sommeil. Cain se raidit instinctivement jusqu'à ce que la voix douce et réconfortante de Riff résonne dans l’immense pièce (bah oui tout est gigantesque chez lui-même la salle de bain).

« Que vous arrive-t-il my Lord ? »

Le jeune garçon sortit une tête ébouriffée de la couverture et cligna des yeux pour s’accoutumer à la lumière vive.

« Rien…j’ai juste l’impression que quelque chose ne colle pas. »

« Vous ne réagissez pas ainsi d’habitude. »

« D’habitude j’arrive à rester calme car ça ne concerne pas de manière directe Mary toi et moi mais cette fois. Je sens que ça nous concerne les trois de prêt et je n’aime pas ça du tout. »

Riff eu une sorte de sourire en coin et vint s’asseoir sur le bord du lit aux côté de son maître dont les yeux éclatants se détachaient sous ses longs cheveux noirs en bataille. Ses vêtements froissés lui donnait l’ait un peu perdu d’un gosse dépassé par les événements. Il prit la couverture et la tira exposant ainsi totalement son maître à la lumière du soleil.

« Avez-vous envisagé que cette jeune fille aurait pu simplement avoir un coup de foudre et nous, inviter miss Mary et moi pour vous être agréable ? »

Cain eu une moue déçue. Il n’y croyait pas trop même si ça restait l’explication la plus plausible. Il avait au creux du cœur une sorte de sentiment désagréable qui le rendait nerveux.

« Oui c’est possible. »

Concéda le comte alors que son valet s’était penché vers lui et avait commencé à déboutonner sa chemise (oulala c’est chaud ça dit donc^^) remplie de plis afin de la changer (non maieuuuuuh, mon shiiiiiiip *snif*). Le comte se leva de son lit afin de facilité la tâche à son majordome.

« Vous irez my Lord ? »

« On ne peut pas vraiment refuser l’invitation d’un marquis. Déjà que mon oncle trouve que j’ai mauvaise réputation. »

Le jeune garçon avait soupiré en donnant sa réponse. Riff ne pu s’empêcher de ressentir une pointe d’amusement. La mauvaise grâce de son maître lui donnait l’impression d’un gosse forcé d’aller à l’église.

Excellent, une histoire romantique ou un truc glauque ? lool

C'est exellent, franchement bien

Merci beaucoup^^

J'espère faire glauque et romantique mais je verrais. Disons sadique surtout.

Déjà le coup du déboutonnage de chemise lool.

Oooooooh j'aimerais tellement avoir le temps de faire la relation entre les deux *étoiles dans les yeux.* Mais ça voudrait dire en tuer un à la fin

Il est où le problème ? lol

Je pensait être gentille ce coup ci. Une exception ou je tue personne qui est pas à moi. Mais au fond pourquoi se géner c'est vrais^^

Pis pour rester dans le thème de Compte Cain faut des morts^^

Alors voilà chapitre trois.



« WAHOU !!! »

Mary était le nez collé à la fenêtre du carrosse et regardait béatement le paysage qui se dessinait devant elle. Des plantes plus étranges les unes que les autres défilaient sous les yeux de la petite fille. Celle-ci ne pouvait s’empêcher d’appeler son frère dès qu’un nouvel animal passait à sa vue.

Ils étaient en route pour le château des deux marquis. Enfin en route…cela faisait maintenant un quart d’heure qu’ils étaient dans le domaine mais entre temps ils avaient traversé trois serres géantes avec un climat différent chacune. On aurait dit que les deux aristos avaient décidés de reproduire plusieurs régions du monde dans leur domaine. Les serres étaient remplies d’animaux et de plantes que Cain ne se souvenait pas avoir jamais vu ailleurs.

Ils arrivèrent au château lui-même vers environ 4 heures de l’après midi. Le bâtiment était à l’image de la propriété gigantesque. Un homme à l’air jeune s’approcha du carrosse pour les accueillir. Il avait les cheveux bruns plus longs que Cain mais coiffés en catogan. Ses yeux bruns eux aussi avaient une lueur d’intelligence qui brillait aussi froidement que si toutes les pensées de l’homme étaient calculées avec un détachement absolu. Le comte sentit tout de suite une sorte d’antipathie à son égard. Pffff pourquoi inviter les gens quand on ne veut pas les voir débarqué chez soit ?

« Monsieur le comte. Je me présente Alane Eridesma. Je suis ravi de vous accueillir ici. »

Heureusement que l’hypocrisie ne tue pas. Rien que le sourire du marquis l’aurait foudroyé sur le champ sinon. Par chance, une nouvelle arrivé mit fin à cet instant désagréable. La domestique au sacré punch (-___-) venait de surgir. Elle s’inclina devant les invités avant de glisser quelques mots à son maître qui sembla se calmer et reprendre immédiatement le sourire. Sincère cette foi. On aurait dit que l’homme de tout à l’heure venait d’être remplacé.

« Et bien entrez donc. Je vais faire appeler ma sœur elle sera tellement contente de vous retrouvez monsieur le comte. Oh et de faire votre connaissance à vous aussi miss Mary… »

Il se pencha pour faire un baisemain à l’enfant.

« …ainsi que vous monsieur Riffel. Ravis que vous ayez pu venir. Nous vous avons préparé des chambres côtes à côtes à vous trois. Elles communiquent entre elles par des portes spéciales. Nous nous somme permis de mettre monsieur le comte au milieu. »

Tout en parlant, il les avait guidés jusqu'à un salon gigantesque décoré avec un goût ma fois assez banal (pour un noble je dis bien). Il semblait maintenant chaleureux et plein de bonnes volontés. Une fois que tous le monde fut assis, il y eu un moment de silence puis, une jeune fille aux cheveux roux débarqua dans la salle. Aïna portait une robe de haute couture assez serrée au niveau du torse toute faite d’un mélange de couleurs gris et or.

« Oh monsieur le comte. Comme je suis contente de vous revoir. »

« Et moi de même mademoiselle. (Je répète ce que je disait au sujet de l’hypocrisie.)»

« Ravit de vous rencontrez !!! »

Clama brusquement Mary qui s’était levée et qui se tenait les poings sur les hanches maintenant. Et oui, il ne fallait pas espérer qu’elle reste calme plus longtemps. Non mais oh pourquoi il y en avait que pour son frère elle existait aussi…ainsi que Riff. Mary avait attrapé le bras du pauvre majordome en clamant d’un air autoritaire.

« Toi aussi Riff je suis sure que tu es raviiiiiiis de les rencontrer tous les deux non ? »

Traduction N1 pour les marquis et accessoirement pour Cain : On existe aussi nous faudrait voir pour pas l’oublier bande de snobs.

Traduction N2 pour Riff : Si tu voulais te planquer c’était avant maintenant tu y es jusqu’au cou et je ne vais pas te lâcher.

Alane et Aïna restèrent surprit incapable de vraiment savoir comment réagir. Ce fut l’homme qui se reprit en premier en disant d’un air ravit.

« C’est trop d’honneurs que vous nous faites. J’avais déjà entendu parler de vous miss Mary en bien je vous rassure mais j’ignorais à quel point ce que j’entendais était juste. Vous faites vraiment honneur à votre famille de par votre beauté et votre personnalité. »

Cain du cacher son sourire en enfouissant sa tête dans ses épaules. Non mais ils ne pensaient pas sérieusement la calmer de cette manière ? Il n’avait pas finit si c’était le cas.

« J’imagine que je doit être flatté. Bien que j’ai un léger doute actuellement. Et mon majordome vous l’aveu invité aussi parce qu’il faisait honneur à sa famille ? »

VLAN ! Et dans le mille. Bon côté des choses, ils allaient enfin savoir d’où venait l’intérêt du marquis pour un simple valet et mauvaise nouvelle, Mary venait d’être nommée casse pied officiel du séjour. Alane eu un sourire figé et pendant un instant, une étincelle mauvaise traversa son regard. Si mauvaise que la petite fille cru qu’il allait la gifler pour toute réponse. Mais non, il reprit son calme dès le moment ou Aïna répondit à sa place.

« C’est moi qui ai voulut inviter Monsieur Raffit. Je…j’avais entendu tellement d’histoire sur vous monsieur le comte et j’ai cru comprendre que ça vous ferait plaisir d’être accompagner de votre charmante sœur et de monsieur Raffit. Me serais je trompée ? »

Cain remarqua que /Monsieur Raffit/ avait un sourire ostensible qui lui signifiait /vous voyez qu’es ce que je vous disais/. Le jeune homme haussa les épaules pour toute réponse à son serviteur.

« Non, non vous avez eu raison. »

Et la conversation s’orienta sur un autre sujet. La soirée se passa pour le moins assez bien, Alane n’eu plus d’étincelles mauvaise dans les yeux, la domestique cogneuse resta à sa place tout du long et au miracle, Aïna ne tenta pas toute la soirée de draguer Cain comme celui-ci le craignait. Il n’y eu pas d’incidents notables jusqu’au diner. Au milieu du repas, Aïna se plia en deux en laissant échapper un cri de douleur.

Sans bouger de sa chaise, Alane la regarda une seconde avant de dire d’un ton froid.

« Sinistra, ramener la à sa chambre et occupez vous d’elle. Ca doit être son dos. »

Il se retourna alors vers Riff qui était déjà auprès de la rousse qui était tombée sur le sol le souffle court.

« Ca lui arrive souvent ne vous en inquiétez pas. Nous savons ce qu’il faut faire. Sinistra dépêche toi ! »

Sinistra…la fameuse domestique se nommait alors Sinistra. Celle-ci aida sa maîtresse à se relever en ignorant Riff et fit sortir a souffrante. Aïna marchait difficilement mais à l’instant de disparaître, elle lança un dernier regard à Riff. Un regard plein de terreur et de supplication. Un appel au secours silencieux.

Le valet retourna s’asseoir ne trouvant pas mieux à faire. En faisant ceci il surprit le regard de Cain. L’appel, il l’avait aussi vu dans les yeux de cette jeune fille. Riff savait à quoi il pensait. Les cicatrices qui striaient le dos de son maître, les marques de coups de fouets donnés pas son père qui le martyrisait tout le temps. Serait-il possible que…Aïna était plutôt pâle, presque blanche comme si elle manquait de sang. Très fine aussi, elle avait l’air de ne pas assez manger, cette crise rappelait les fois ou Cain s’était évanouit quand il était plus jeune. Tout ça…tout ressemblait tellement au passé du comte. Le comte des poisons regarda le marquis qui était silencieux et extrêmement calme aussi froid que de la glace.

« Qu’es ce qu’a votre sœur au dos ? »

« Oh ça, ce n’est rien. Une maladie assez rare qui…qui fait que ses os de sa colonne se déplacent légèrement ce qui lui occasionnent de grandes douleurs. Ce n’est rien Sinistra va très bien s’occuper d’elle. »

« Sinistra…c’est votre majordome n’es ce pas ? Il est assez rare de voir une femme occuper ce poste. Surtout une personne qui a une telle capacité à se battre. »

Alane ne releva pas la tête de son assiette mais on pouvait sentir dans ses gestes une froideur de mauvais augure. Cet homme était apparemment en train de leur mentir à propos de sa sœur et la question sur Sinistra le gênait. Il ne voulait pas répondre, du moins pas la vérité.

« Oh, c’était la servante officielle de Aïna avant la mort de mes parents. Comme notre majordome est mort en même temps qu’eux et qu’elle se sentait seule j’ai pensé que cette femme serait le meilleure choix pour prendre ce poste. De plus, elle sait nous protéger tous les deux et regorge de talents. »

Mary se mêla brusquement à la situation. Elle n’avait absolument pas comprit l’angoisse de son frère pour la maladie de la marquise comment aurait-elle pu savoir ? Elle ne connaissait pas les marques de son frère.

« Quel genre de talents ? »

« Et bien multiples. Pardonnez-moi mais vous devez être fatigué par votre voyage et de plus je dois aller voir comment se porte ma sœur. On va vous montrer vos chambres. Si vous avez un problème, appelez un domestique il s’occupera de vous pas la peine de vous levez. »

En claire, ne vous balader pas la nuit n’ importe où dans le château. L’homme se leva et sans se retourner partit de la pièce laissant ses invités se faire guider par un serviteur.

« Je n’ai pas confiance en ce marquis. Il nous a invités ici mais on dirait que notre présence le gène plus qu’autre chose. De plus cette maladie avec sa sœur je n’y crois pas trop. »

Cain était debout devant son lit. Riff était en train de l’aider (enfin, son maître fiche pas grand-chose XD) à enlever ses vêtements. Il en était au pantalon maintenant (oulala *sourire ravis*).

« Quel est votre idée. »

« La même que la tienne Riff. Mais je ne sais pas ou réside Aïna impossible de le surprendre. J’aimerais savoir pourquoi nous somme ici. Je me demande si ce n’est pas elle qui veut que nous lui venions en aide. »

Le comte était maintenant totalement nu (oh comme il est beauuuuu devant Riff en plus *o*). Son majordome alla poser les vêtements de son maître sur une chaise tendit que celui-ci était allé se glisser sous ses couvertures. Il regarda son valet d’un air un peu perdu. Il observait sa manière de bouger, sa prestance lui faisait toujours aussi plaisir à voir. Il aimait surveiller de cette manière, d’un regard discret la beauté et la manière de bouger de Riff.

« Voulez vous que je fasse des recherches cette nuit my Lord ? »

« Non, on verra demain. Dort tu dois être fatigué aussi. »

« A vos ordre. »

Le valet s’inclina légèrement avant de quitter son maître qui le regarda partir de dos en silence ne pouvant détourner le regard. Il soupira avant de s’enrouler dans les couvertures et de s’endormir bercer par les souvenir embrumés de cette journée. Partagé entre ses propres souvenirs de son passé, la crainte de s’y trouver confronté à nouveau, cet homme glacial, cette femme blessée et Riff.


Le lendemain, Cain se réveilla assez tard. La lumière baignait dans la pièce. Il regarda l’horloge qui se trouvait dans un coin de la pièce. 12h. C’était étrange habituellement il se réveillait très tôt. Il se leva de son lit toujours enroulé dans sa couverture et se pencha par la fenêtre pour voir dehors le jardin. Une table avait été dressée et il pu voir Aïna en train de déjeuner en compagnie de Sinistra. Sans attendre et sans réveiller Riff, il s’habilla en vitesse et descendit avant de se rendre dans le jardin à l’endroit où il avait aperçu la marquise.

« Monsieur le comte enfin réveillé ? »

« Votre frère n’est pas avec vous miss Aïna ? »

« Oh non je préfère rester seule avec mon amie. Je veux dire que mon frère n’est pas vraiment disponible ces temps ci. »

Sinistra se leva d’un pas tranquille. Elle jeta un comte un regard glacial et furieux. Cain ne dit rien en croisant son air furieux. Il sentait pour elle la même chose que pour le marquis. Elle posa un journal devant le jeune garçon avant de saisir un plat avec violence.

« Allons Sinistra…calme toi. Monsieur le comte ne fait rien de mal. Pourquoi es ce que tu t’énerve comme ça. »

« Veuillez excuser mon attitude. Je suis navré, je vais vous laissez tous les deux. Monsieur le comte, votre sœur et partie visiter les serres avec mon frère et votre majordome était en train de marcher dans le jardin en attendant votre réveille. »

Sans plus rien ajouter, la domestique au sale caractère s’éloigna laissant seule Cain et Aïna. Cette dernière était souriante et semblait en grande forme. Partagé entre l’envie d’interroger la jeune femme et la crainte de mal s’y prendre, le jeune garçon prit le journal à la recherche d’une idée sur la manière de s’y prendre. Il fouillait les pages quand il tomba sur un article parlant d’une série de meurtre ayant lieu dans le coin. Une nouvelle victime venait d’avoir été retrouvée la veille.

« Des meurtres ont eu lieu pas loin d’ici. Ca dure depuis un moment à ce qui est marqué. »

« Oh, je suis navrée vous n’aviez pas été mit au courant ? De plus en plus souvent en plus. On retrouve des gens entièrement vidé de leur sang, leur graisse et tout ce qui serait semblable à une énergie vitale. Ils sont desséché et leur visage… »

Elle frissonna en y pensant. Quand elle reprit sa voix était légèrement hésitante.

« Ils ont une expression…on dirait qu’ils ont été rejetés des enfers. Cette douleur…c’est…affreux. »

Cain posa une main sur son épaule avec douceur. Il se sentait proche de cette fille. Cette petite gamine qui frissonnait de peur face à l’horreur humaine.

« On dirait que tu en as déjà vu. »

« Oui… »

Elle releva la tête. Ses yeux d’une couleur émeraude croisèrent ceux pailletés d’or de Cain.

« …Mes parents. »


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Alla la suite demain

C'est flippant comme truc, bravo en tous cas^^.

Merci Guen ça fait plaisire^^.

(la miss qui a même pas fait exprès que se soit flippant XD)

Faudrait faire traduire et l'envoyer a kaorie yuki *o*
Adaptez se serait supêer! Mais bon vrai qu'avec la fin des bouquins ça colle malheuresement pas, mais en hgistoire annexe.. (quoi j'ai failli spoiler? moi? naaaa^^)

Traduire XD Trop de boulot pour moi




« Ainsi ce n’était pas un accident. »

« Non, ils ont été tué par le meurtrier. »

« On sait quelques chose sur cet homme ? »

Aïna se redressa brusquement. Ses yeux étaient embués de larmes retenues. Elle semblait totalement paumée.

« Ce n’est pas un homme. D’après les descriptions c’est un monstre. Une créature immonde avec des grandes ailes noires, des yeux jaunes, des griffes et des crocs. Un être affreux qui mérite la mort, oui la mort !!!!! »

Criât-elle. Le comte resta silencieux un peu dépasser par l’énervement soudain de la marquise. Celle-ci tourna brusquement les talons et s’enfuit à toutes jambes laissant derrière elle le jeune garçon qui n’avait pas encore réalisé la scène qui s’était déroulé sous ses yeux.

Elle courait, aveuglément elle courait le cœur remplit de douleur et de désespoir. Elle ne savait plus que faire, où aller et pourquoi continuer. Perdue, elle était perdue, comme une enfant qui cherche ses parents dans une foule dense. Mais là, il n’y a pas au bout de la recherche les visages protecteurs des géniteurs. Il n’y a que le vide, une absence.

Un choc, elle venait de heurter quelque chose et avait finit par terre juste au dessus de ce qu’elle avait frappé, non en fait de qui elle avait frappé. C’était Riff. Comment une personne aussi frêle qu’elle avait bien pu par un choc n on préméditer mettre cette grande perche à terre ? C’était simple, il l’avait seulement protégé de sa chute. Par reflexe certainement, vu qu’il était plus habitué à prendre les coups pour les autres que de se protéger lui-même.

« Oh, je…je suis désolée. »

« Ce n’est rien, je ne regardait pas ou j’allais non plus. »

Dit-il en l’aidant à se relever. La jeune fille le regarda les yeux grands ouverts. Il était grand, fort, doux, prêt à protéger les autres. Ses cheveux d’un blond presque blancs s’accordaient parfaitement avec ses yeux bleu azure, son sourire était rassurant et plein de bonté (oui, bon ça va je ne vais pas me retaper toute la description de Riff ça va on le connaît XD).

« Vous m’avez l’air bouleversée. Puis je vous aider ? »

« Oh ! Euuh, non…non c’est bon ça iras. Je…je vous remercie. Je…je vais déjà beaucoup mieux (on se demande pourquoi). »

« Mademoiselle Aïna. Vous étiez là, je vous cherchais. Le comte a dit que vous étiez partie précipitamment. »

Sinistra venait d’arriver sur les lieux. Elle souriait apparemment beaucoup plus calme en présence de Riff que de Cain. Elle s’avança vers sa maîtresse et regarda Riff avec une douceur bienveillante.

« Le comte a dit qu’il vous cherchait. Je crois qu’il est partit en direction du jardin principal. C’est ou nous vous avions aperçue en dernier. »

« Je vais aller le retrouver. Merci. »

Répondit Riff en s’éloignant pour rejoindre son maître. Aïna restée seule avec sa majordome attrapa celle-ci par le bras.

« Il est si beau. »

« Aïna. Tu sais que je n’aime pas trop l’idée que tu tourne autour de ce comte. Il est bien trop singulier et connus. Il va nous causez des ennuis. Je ne suis déjà pas d’accord avec l’idée de ton frère de l’inviter. Il attire la mort. Je ne veux pas de ce genre d’homme ici, c’est trop dangereux. »

« Tu es rabat-joie. On ne risque rien. Et je ne parlais pas du comte. »

« Comment ça ? »

« Le majordome. Il est si…craquant. Il…chaque fois que je suis en sa présence je me sent si bien. Rien que de le savoir ici me donne envie de rire, danser, d’être heureuse. »

Sinistra la regarda un moment comme choquée. La jeune fille semblait totalement aux anges. La domestique soupira avant de prendre un ton plus sévère.

« Aïna. La haute société comme toi n’épouse pas les gens de la basse classe social comme les serviteurs comme lui ou moi. C’est totalement impossible. Déjà que ça ferais scandale si tu épousais un être de la classe moyenne alors penses tu, la plus basse des classes. Reprend toi un peu. Et pense à ton dos. Si quelqu’un le voyait imagine un peu les conséquences. Tu dois protéger l’honneur de la famille Aïna. »

La concernée baissa la tête d’un air piteux. Elle croisa les bras en tremblant un peu. Son dos, il li faisait encore mal. Ca la brulait, la brulait vraiment.

« Je suis désolée Sinistra. Je…je vais aller dans ma chambre un moment. »

« Bonne idée. »

Répondit la servante. Elle resta seule quand sa maîtresse tourna les talons. Un bruit de pas, une ombre, quelqu’un se trouvait juste derrière elle.

« Tout à l’air de se passer correctement. »

« Oui, au plus tard dans deux jours le majordome ne sera plus un problème. Et ensuite le comte suivra. Que fera-t-on de l’enfant. »

L’ombre tendit un objet à la domestique. Celle-ci le prit en silence, le regarda une seconde hésitant.

« Ce n’est pas ce que nous avions convenus. »

« Vous avez trop trainez. Le travaille est plus dure le prix plus élever. »

Sinistra regarda l’ombre et son hésitation fit place à de la détermination. Elle serra l’objet dans sa main. L’ombre reprit.

« Agissez à la prochaine pleine lune. »

« Ce sera fait. »