Sogsog s’approcha de l’estrade… Il s’affichait sans tensions, calme et reposé… Il se sentait déterminé à capter l’auditoire.
Avec une voix forte et décidée, il s’écria :
« Peuple de Mustafar ! Voilà votre avenir qui se présente à vous ! »
« Je suis pour la plupart d’entre vous un inconnu. Je me nomme Sogsog Garne, fils du peuple et fier de ses origines. J’ai grandi modestement sur Korriban. Et j’ai toujours éprouvé une grande fascination pour Mustafar… Elle me vient de mon père… Mon père… Un homme si particulier… Lui avait toujours rêvait de venir ici, il y avait comme une attraction qui se matérialisait quand il nous en parlait. Mais il est mort et ses rêves en lui… Et c’est pourquoi je viens devant vous d’une part pour porter les dernières volontés de mon défunt paternel mais aussi car, aujourd’hui, je me sens prêt à affronter les responsabilités. Et Mustafar est, de mon point de vue, la planète montante.
J’ai conscience que cette responsabilité est lourde. Et oui, je prends la suite d’un grand personnage que je respecte et admire : Moss Arashra. Je souhaite poursuivre ses projets et ses idées. Et oui, comme lui je souhaite faire de Mustafar : une planète renommée à travers la galaxie.
J’ai des idées plein la tête et les poches. Et grâce à cette imagination débordante que je souhaite développer Mustafar. Il y a tant de choses dont j’aimerai vous parlez, par exemple, le développement commercial de Mustafar que je souhaite entreprendre…
Mais je dois vous l’admettre je suis plus un homme à actes qu’un homme de paroles. Et je le précise jamais les miennes sont vaines. Je vais toujours aux bouts des choses ! Oui je suis un perfectionniste doublé d’un déterminé !
Et surtout je sais porter la vérité aux autorités. Oui je porterais jusqu’au Sénat tout… tout ce qui devra être dévoiler aux Oreilles les plus hautes ! »
« Maintenant, je ne peux vous dire qu’une chose… Voter pour moi bien sûr ! Il n’y a que ça que vous puissiez faire aujourd’hui et demain vous en cueillerai les fruits : La Prospérité, La Richesse et la Souveraineté d’un peuple ! Le peuple Mustafarien ! »
Sogsog termina son discours-monologue en un cri d’espoir ! Il avait l’espoir d’être élu, d’être cru, d’être compris !