La paix.... Peut-elle revenir? (SF)

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Le Verd'a'den s'approcha de Dagobah. Le vaisseau capital mandalorien ne marqua aucune marque offensive, puisqu'elle n'était pas là pour combattre. Les canons ne fusèrent pas, le superlaser ne tira pas, seulement une navette décola pour atterir sur Dagobah. Mandalore était dans ce petit vaisseau pour le bien de son peuple.
Le mandalorien pilotait la navette avec son jeune fils adoptif, Nyax Styran. Atterissant dans une clairière libre, Mercan pensa à tout ce qui se passait. La paix pouvait-elle revenir? C'était la question...

Le mandalorien voyagea dans la forêt avant de s'assir pour méditer et Nyax fit de même. La sagesse coulait dans les veines de ce mandalorien et aussi la Force! Cependant la question de si Nyax voulait joindre les Sith ou Jedi n'était pas une chose importante à savoir, pour l'instant.

Moss arriva sur Dagobah à bord d'un chasseur TIE. Il se pausa dans une petite clairière non loin du lieu de rendez vous. Marchant durant une petite heure, il arriva dans une petite cabane misérable, choisit par Mandalore. Celui-ci n'était pas encore présent, mais il sentait ça présence dans la force ainsi que celle d'un autre individu, réceptif à la Force. Mercan cherchait-il à lui tendre un piège? Nul ne le savait, mais la démonstration de Force qu'il lui avait fait sur Télos avait du le dissuader. Les négociations allaient-elles échouer ou réussir?

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Mercan arriva peu après l'arrivée de Moss dans la clarière. Moss l'attendait et semblait un peu tendu, mais cela n'interressa pas Mandalore. Le mandalorien salua le chancelier en mettant sa main sur son coeur. Nyax s'agenouilla, ce garçon était émerveillé par l'apparence si jeune du seigneur noir. Il le croyait plus vieux en raison de son rang.

"Cher Moss, c'est un plaisir de vous revoir... Aujourd'hui peut-être qu'ensemble nous réglerons les querelles républicaines et mandaloriennes, une fois pour toute. Après cette rencontre et même si les négociations échouent, je ne ferais aucune campagne contre la République pour prendre des planètes qui vous viennent de droit. Je demande simplement aujourd'hui, d'arrêtez les querelles passés et de venir au présent... Je veux simplement récupérez les planètes dont nous avons façonné les villes, comme Mandalore. Je veux reprendre les planètes qui me reviennent de droit et je n'importunerai plus la République. Si un de mes hommes voudraient briser ce lien, il sera châtié de ma main."

Mandalore prononça ces paroles sur un ton ferme. Il voulait seulement la paix! Rien d'autre.... Il balance les excuses qu'il voulait autrefois, il s'en fout! Il ne veut que le bien que recherche son paix depuis les massacres.

"Voila qui est sage Mandalore..."

Dit Moss d'un ton sec et cassant. Il n'avait pas bougé à l'arrivé de Mercan et de son fils adoptif. Il les avait regarder entrer dans la cabane et le saluer, mais il ne s'était pas levé et ne les avait encore moins salué.

"Mais est-ce de la sagesse où de la peur? peut importe en réalité, le résultat est le même, mais comme tu le sais, les planètes dont tu revendique la suzeraineté son républicaine désormais, comme l'était Kashyyyk avant que tu ne la place sous le joug de tes sbires...Tu n'as aucun droit sur les planètes tels que Mandalores et autres...Tu t'es auto proclamé Mandalore, chef du peupel Mandalorien. Tu as soumis le peuple natif de Kashyyyk, les Wookies, à ta volonter. Tu as dérouté leur planète de la tranquilité de la vie que nous leur apportions, et désormais, tu oses penser que j'accepterais de telles négociations? Permets moi de te remettre à ta place Mercan...Tente se que tu veux, mais tu sais très bien que je te turais sans problème toi et ton fils...Replace Kashyyyk au sénat, je te laisserais sénateur, mais ne m'impose pas ta volonté comme tu l'as imposé aux Wookies...Les autres planètes resterons républicaine...Tu peux refuser mon offre, mais la mort t'attends innéluctablement..."

Moss se leva et sans rien rajouter, il sorti de la cabane, marchant à travers le marécage en direction de la petite clairière isolée où il avait laissé son vaisseau. Il garda ses sens en alerte, sondant la Force pour ne pas être supprit par une potentielle attaque de Mercan.

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"Chancelier, trouveriez-vous juste que votre planète natal, qui fut longtemps sous le contrôle de ses habitants, soit prit d'un coup par des fous voulant que du pouvoir? Vous ne voudriez pas cela! Alors regardez la situation des mandaloriens! Je vous jure que Kashyyyk reviendra à la liberté qu'elle avait, mais par pitié je vous demande de laisser notre peuple et nos droits! J'ai gagné mon rôle par mon charisme et ce qu'exige être un Mandalore! Voilà ce que je suis devenu et si vous trouvez ça répugnant retournez d'où vous venez, puisque moi je ne pourrai vous tolérez. Voici un accord... Chaque planète mandalorienne nous reviendra de droit, cependant elles siègeront au sénat sous la tutelle de deux sénateurs, un représentant la République et l'autre les Fils de Mandalore. Kashyyyk redeviendra comme avant, je le promets..."

Le mandalorien se râcla la gorge et regarda sévèrement Moss.

Moss se retourna vers Mercan, ses yeux étaient si sombres à présent. Les ténèbres étaient dévoilés, son aura obscure l'enveloppait.

"Mandalore...Je t'ai fais une offre...accepte là, ou accepte la défaite, car tu n'as nul autre choix que de capituler devant nous. Ne me propose plus de marchés de ce genre alors que tu n'es pas en position de négocié. Je t'ai repoussé sur Télos, en combat sigulier, la mort t'attends...Réfléchit à mon offre et fait moi savoir ta décision. Je n'ai pas le temps de te regarder réfléchir. En temps que chef des Mandaloriens, ton choix sera déterminant pour ton avenir et celui de ton peuple..."

Moss parti alors sans se retourner.

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Juste vant que le seigneur noir quitte les lieux, Mercan lança.

"Seigneur Moss, la liberté de mon peuple ne vous importe guère. Nous verrons comment vous réagirrez quand vous perdrez vos nobles sujets... Chancelier, votre orgueil et votre égoïsme vous tuera. Vous ne pouvez dire non... La vie est si courte et si belle, pourquoi la détruire? Je ne demande que le bien... Je ne laisserais pas des innoncents mourir par votre faute."

Mercan partit à son tour, décidé à tout finir cela...